Léonard de Vinci
Pour sourire un peu....
La rencontre de l'Art et de l'Humour : Léonard de Vinci et Lisa Maria Gherardini (La Joconde)
Elle : Non Maître, je refuse de me déshabiller, votre atelier est glacial et je ne supporte pas la fumée de votre poêle.
Lui : Mais j'en ai besoin, de cette fumée, le Sfumato, on parlera de moi pendant des siècles grâce à cette fumée.
Elle : Peut être, mais en attendant je retourne chez mon mari, son palais est bien chauffé et je peux m'y reposer
dans des draps de soie. Vous me ferez prévenir quand votre poële sera réparé !
En bon inventeur, Léonard se confectionne des gants sur lesquels il fixe des lames de scie.
Il arrive ainsi à déboucher son poële, la température remonte dans son atelier et il fait prévenir son modèle
qui accepte enfin de se déshabiller.
C 'est ainsi que Léonard devint scie et ramona Lisa
Rogerson.
Toto, un lundi matin à l'école...
- La maîtresse : Rédaction ! Vous allez me parler de votre dimanche en quelques lignes et, si possible, vous essaierez de faire rîmer ce que vous écrivez.
Une heure plus tard, commentaire des copies de chacun. Arrive celle de Toto...
- Voyons ça, Toto !
Dimanche avec mon grand frère,
on est allé dans la rivière.
On allait à la pèche à la grenouille,
on avait de l'eau jusqu'au genoux.
- Pas mal, pas mal, Toto, mais ça ne rîme pas beaucoup...
- Je le sais bien, Madame, mais ce n'est pas de ma faute : il n'y avait pas assez d'eau...
Délire sur l’infidélité
C'est un couple qui a traversé le temps, ils s'aiment comme au premier jour mais maintenant, c'est la tendresse qui l'emporte.
L'homme, prenant sa compagne dans les bras, lui demande :
- Mon amour, au soir de notre vie, j'aimerai te poser une question. J'y ai souvent pensé mais le moment n'était pas arrivé, aujourd'hui ça n'a plus vraiment d'importance mais j'aimerai savoir... M'as-tu trompé tout au long de cette vie d'amour que nous avons passée.
- Tu as raison, mon chéri, de me poser cette question, car ça m'a génée presque toute ma vie. Combien de fois ai-je eu envie de te l'avouer... Oui, je t'ai trompé trois fois.
- Pourtant nous nous sommes tellement aimés, tous les deux. Comment se fait-il?
- Je ne cherche pas d'excuses, mais je peux dire que c'était pour la bonne cause.
- Je ne comprends pas, pour la bonne cause ?
- Oui, la première fois, je ne sais pas si tu t'en souviens, nous étions jeunes mariés et tu voulais absolument monter ton entreprise mais tu n'avais pas un sous vaillant. Le banquier ne voulais rien savoir.
- Je me souviens, en effet, mais ça s'était arrangé.
- Oui, justement, je suis allé le voir pour plaider ta cause... et tout s'est arrangé.
- Oh mon amour ! Tu as fait ça, toi. Tu devais vraiment m'aimer pour t'être sacrifiée ainsi... Et la deuxième fois ?
- La deuxième fois, tu étais en danger, devant subir un quintuple pontage coronarien. Une seule prersonne au monde était capable de réaliser cette opération mais tu n'étais pas transportable. Ce professeur refusait de venir de New York pour t'opérer.
- Oui, et alors ?
- Je suis allée le voir pour plaider ta cause et il est venu t'operer .
- Oh ma chérie, je me rends compte aujourd'hui que je te dois la vie. Tu es une femme admirable. Et la troisième fois ?
- La troisième fois, souviens toi, tu cherchais à tout prix un symbole de ta réussite sociale, tu voulais devenir président du Lion's Club...
- Il est vrai , oui...et alors ?
- J'ai dû plaider ta cause car il te manquait trente cinq voix...
Mode : Par Grande Canicule...
Messieurs, croyez moi, nombreuses sont les femmes qui fantasment sur nos fesses.
Je vous suggère une tenue très classe : un short en voile de coton blanc très léger, très transparent, à porter à même la peau. Ceux qui n'aiment pas sentir tout se balancer au gré des mouvements ou des évènements opterons dessous pour un beau string noir. Manière de jouer avec le graphisme et les contrastes.
A porter en toutes occasions, que ce soit au golf, sur le pont d'un bateau ou même pour une séance shopping. Si vous n'êtes pas avec votre régulière, soyez certains que vous serez shoppés.
Mettez donc en pratique ce proverbe désormais mondialement connu:
" Par grande Canicule, on montre son Cul "
Christina (Rogerson)